On se pince pour dire qu’on ne rêve pas : la saison nouvelle de l’Orchestre Dijon Bourgogne, outre son partenariat résidentiel avec l’Opéra de Dijon qui nous vaut deux merveilles de suite (Puccini, Madama Butterfly et Mahler/Bernstein), est digne des meilleures formations et surtout prometteuse de grande attractivité sur le public et de développement pour une formation née récemment et dont la région Bourgogne avait tant besoin. Le directeur général, Alain Weyssman, ne nous démentira pas, lui a bataillé si longtemps depuis Chalon pour que cette région ait enfin un orchestre digne de sa riche histoire musicale.
J’aime aussi lire, sous la plume de Pascal Verrot, son directeur musical, cet enthousiasmante profession de foi : “L’Orchestre Dion Bourgogne est porteur d’un fort potentiel de développement (…) L’heure est venue de formuler des voeux pour que ces rêves deviennent un jour réalité et pour qu’une pratique d’orchestre puisse épanouir et enrichir par ses illuminations une rgion qui le mérite”.
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